- 1. Interférences d'ondes quasi monochromatiques
Hypothèses :
- N ondes cohérentes.
- Différences de marche petites devant la longueur de cohérence.
- Intensités égales.
Conséquence : les N ondes peuvent être considérées comme parfaitement monochromatiques.
Amplitudes lumineuses complexes :
Amplitudes complexes :
Superposition des N ondes :
Intensité :
- 1. Interférences d'ondes quasi monochromatiques
- b. Phases en progression arithmétique
Amplitude complexe : série géométrique
Interférences constructives des N ondes :
Courbe d'intensité
- 1. Interférences d'ondes quasi monochromatiques
- b. Phases en progression arithmétique
- c. Finesse des franges brillantes
Bords de la frange brillante :
Largeur de la frange brillante :
La finesse des franges brillantes est l'inverse de N.
Très grande sélectivité si N est grand.
- 1. Interférences d'ondes quasi monochromatiques
- b. Phases en progression arithmétique
- c. Finesse des franges brillantes
Expérience de Young réalisée avec N fentes.
Ordres de grandeur :
- 100 à 1000 traits par millimètre
- : 1 à 10 micromètres
- N de 1000 à 100000
Axe y parallèle à la fente du collimateur et aux fentes du réseau.
Projection dans le plan :
- La fente est dans le plan focal objet du collimateur donc les rayons incidents sur le réseau sont parallèles.
- L'observation se fait à l'infini donc on considère des rayons diffractés parallèles.
Système équivalent :
- Source ponctuelle : onde incidente plane.
- Réseau équivalent à N sources ponctuelles cohérentes, en phase avec l'onde incidente.
Différence de phase entre les rayons et :
Position angulaire de la raie brillante d'ordre :
Interférences avec un réseau
Mesure directe de la longueur d'onde d'une raie
Réglage de l'angle d'incidence pour avoir la symétrie par rapport à l'ordre 0 :
Mesure de et . Calcul de la longueur d'onde :
- 2. Réseau de diffraction
- d. Diffraction avec un laser